amour de son prochain
L’ AMOUR DE SON PROCHAIN
IL EST NE
UNE MALADIE.
QUE L’ON NE SAIT COMMENT SOIGNER
TUMEUR MALIGNE
INDIGNE
SOURNOISE,
LA VIOLENCE
S’ATTAQUANT A NOTRE COEUR
FAISANT DE NOUS DES TUEURS
DANS UN MONDE QUI NOUS DEDAIGNE
OU LE RACISME REGNE.
COMMENT DIRE UN JOUR,
A NOS ENFANTS
DE TOUTE COULEUR
QU’il FAUT DU BONHEUR
DONNER UNE CHANCE
A LEUR ENFANCE
OUVRIR LE CHEMIN
DE L’ESPOIR,
SUR DES VOYAGES ,
QUI NE FERONT PAS NAUFRAGE
SANS RACISME;
HUMANITE,DIGNITE
CONSOLES
PAR L’AMOUR HUMAIN
.
famine en ethiopie
Addis-Abeba, K’elafo
Ou ailleurs
Que ne se trouve t-il que douleurs
À demi nus
Ils déambulent
Dans les rues,
Leur vie nulle,
Une dame brune
Reine de l’infortune ;
Des détritus et des rats,
Au milieu de leurs draps.
Rance leur pitance,
Danse, danse
Chante, lala,
Dans les rues,
Jours et nuits
S’écoulent,
Mais eux,
Dans leurs yeux
Voient-ils le ciel bleu,
Les réchauffer d’un feu
Ardent, leur milieu
D’errances.
Alors on chante,
Nous de l’autre coté
De la tente,
On se vante,
Notre enfance,
L’aisance,
Pour la bectance
Combien de temps ?
Combien de temps,
vivre avec cette chance,
Avec clairvoyance,
Donner de l’espérance.
À nous, lançons, le cri,
Ralliement d’amis
Pour un peu de paradis !
Battons nous pour eux,
Enfin qu’ils ne soient sans-abris ;
Alors danse, danse
Rentre en transe,
Pour eux, danse
Pourqu’is n’aient pas que du rassis
Dans leurs vies !!
À moitié nus ils déambulent,
À la merci de crapules.
Danse, danse
Toi qu’on congratule,
Et manipule,
Ne sois pas sans scrupules,
Ne te laisse pas, mettre une cagoule,
Bouscule, ton matricule,
Jongle comme un funambule
Sur ton fil d’or, hercule
Défends, les malheureux
Opprimé heureux !
Danse, seulement, danse
Pour les disetteux.
Alors, bouge,
Ne reste pas dans le rouge
Pour eux,
Rien que pour eux !
Fais qu’ils soient heureux ;
Danse, seulement danse
Mets-toi en transe !!
N’oublie jamais,
Qu’un jour tu peux,
Être eux ;
Cela ne tiens qu’à un cheveu,
Pense, danse pour eux.
Refrain :
Danse, seulement danse
Chante, lalalala,
Chante, lalalala
Bouge,
Ne reste pas dans le rouge
Ai du courage !!!!
évitons la mort à tous ces enfants
joie
la peine est de ce monde, ô amie que j’aime,
mais chaque fleur d’orage porte la graine de demain
pour déverser sur nos chemins,
un jour fort , d'un thème
pour notre destin.
au sein de la terre, j'en écarterai
les émeraudes pour t'apercevoir
et toi d'une plume d'eau messagère
seras tu en train d'inventer le mystère .
tout semble suspendu
le temps d'un regard
au silence nu
a tes yeux azur
a ton amour sur
Quel univers ! Quel stimulant avril !
Quel navire voguant sur ta douceur !
nous donneras tant de bonheur
misèreré
Voir quelque un dans la souffrance
Et ne lui laisser aucune chance,
Tel un fantôme traverser un mur
L’ INDIFFERENCE,
Ame sournoise ,lancinante
Qui nous hante.
L’indifférence
Liberté emprisonnée
Enfance brimée
Rien faire
pour que cela change;
Dans un monde qui saigne
Ou elle règne
Et ou le mensonge rien n’arrange.
Un jour, à nos enfants,
Il faudra qu’on leur dise
Qu’il nous faut un monde Qui rit,
Afin que l’amour luise
Dans notre vie;
Comme une étoile dans l’infini.
Battre l’INDIFFERENCE
C’est : voir quelque un dans la souffrance
Et lui donner enfin une chance;
De prendre son enfant pour l’emmener sur le bon
chemin.
il n'y a qu'une seule vie
Il n'y a devant vous qu'une seule et unique vie,
Que les jours soient bons, et longs sur la terre ;
La vie est tour à tour un cri de joie,
Et un cri de détresse,
Un passage plein d’étroitesse,
Un combat en finesse,
Qui nous enserre.
La vie est belle,
Au berceau,
Elle est pour tous pareille,
Petit à petit,
Le voile se lève,
Et il se crève,
En des gagne-petit.
La vie n’est pas,
Ce qu’elle est,
Elle est ce que,
L’on en fait,
Que serions-nous,
Sans notre amadou,
De la vie, la flamme
De l’esprit ;
Une musique du cœur,
Venue des profondeurs,
De la nuit,
Que l’on écoute,
À la levée du jour.
O vie, rêve infini,
D’une existence,
Qui jamais ne meure.
On passe son temps,
À contretemps,
Dire adieu,
Et se planter des pieux
Et à la fin,
Tout se termine
Par de l’acajou ou du sapin.
La vie, un navire
Que l’on quitte,
À peine, il vire,
Du quai ;
Inéluctablement on s’écrase,
Sur le rivage, des souvenirs,
Rêves et espoirs, étoiles de vie.
environnement
Au fond, un sapin
Dans la vallée,
Émerveillée,
Soudain réveillée
Par des engins,
Venus de loin,
Faire de ce coin,
Un lieu incertain ;
Nature, excuse l’homme
Qui ne fait que pour sa pomme,
Détruire est son rôle,
De tout ce qui le frôle
Pour lui tout est drôle,
Important d’amasser des sommes.
Un beau, jardin
Un magnifique sapin,
Que l’homme a pris en main
Instruments de torture,
Arrêtez d’atomiser notre nature
Parcs autos, immeubles centre urbains
Cessez, cessez, enfin
Toute ruine, malandrins,
Respect de nos biens
Pollution hors du terrain ;
De toute notre idiosyncrasie,
Qui nous mène vers nos inepties
Allons-nous perdurer,
À faire de notre nature
Une nature déchirée,
Randonnée de l’individu
Qui se lance dans l’inconnu
Sans aucune vertu.
Un beau jardin,
Au fond de la vallée,
Un sapin,
Tout cela écrasé,
Par notre manque
D’humanité
Qui abdique,
Au promoteur,
Cœur de pierre,
Sans aucune fleur
Son bonheur.
Nature, ma nature
Quelle détresse s’est sure
Dut à l’homme immature
Provoquant tes blessures,
Comme un hirudiniculteur,
Afin de te sucer ton sang
Dans un énorme bang,
Occasionné par un gang
Pollueur.
Nature déchirée,
Mortellement blessée
Il ne faut pas te retourner,
Sur les pauvres ères
Qui eux sont sincères
Raz de marées
Tsunamis,
Volcans,
Ne venger votre colère
Que sur les hommes amers
Et qui font tomber tout par terre.
Définitions :
Hirudiniculteur ; n.m éleveur de sangsues.
Idiosyncrasie ; n, f dispositions qui fait que chaque individu réagit d'une façon qui lui est propre aux influences des divers agents extérieurs.
Ineptie ; n, f choses sottes ou absurde.
Malandrin ; n. m, brigand, voleur
ethiopie- somalie ,la Famine
Le spectre d’une catastrophe humanitaire plane sur la Corne de l’Afrique. Au Kenya, en Ethiopie, à Djibouti et surtout en Somalie, près de 12 millions de personnes vivent désormais sous la menace d’une terrible disette. A l’origine de cette crise alimentaire, une sécheresse, la pire depuis soixante ans, qui a fait bondir le prix de la nourriture et affamé des populations déjà vulnérables.
La situation est particulièrement dramatique en Somalie, ravagée par une guerre civile qui dure depuis 1991. Dans ce pays privé d’Etat central, près de 1,5 million d’habitants ont quitté leurs villages pour gagner les grandes villes, depuis deux mois.
L’instauration d’un pont aérien
Les réfugiés affluent par dizaines de milliers vers les camps humanitaires de Somalie, d’Ethiopie et du Kenya. La communauté internationale commence à se mobiliser. Hier, le Programme alimentaire mondial (PAM), une agence de l’ONU, a annoncé l’instauration « dans les prochains jours » d’un pont aérien pour fournir une aide alimentaire spéciale aux enfants de Mogadiscio, la capitale du pays.
Rahmo Mohammed fait partie des milliers de Somaliens qui ont quitté leur pays, fuyant la sécheresse, la pire depuis des décennies dans la Corne de l'Afrique selon l'ONU, mais aussi ses conflits. Ce mercredi, les Nations unies ont déclaré l'état de famine dans deux régions du sud de la Somalie.
Son petit garçon de trois ans est l'un des 2.200 enfants dont s'occupe Médecins sans frontières (MSF) à Dolo Ado. Le camp de réfugiés, situé à la frontière somalienne, connaît l'un des taux de mortalité les plus élevés au monde: 7,4 décès sur 10.000 personnes par jour en juin, selon le Haut commissariat des Nations unies aux réfugiés (HCR).
"Les taux de mortalité sont très, très élevés," déplore Jo Hegenauer, coordinateur humanitaire pour le HCR. "Ils ne descendent pas encore", poursuit-il.
Son objectif est de réduire le nombre de décès par malnutrition.
Mais parmi les enfants qui atteignent Dolo Ado, beaucoup sont dans un état trop grave pour être sauvés, relève Joe Belliveau, responsable opérationnel pour MSF pour l'Ethiopie, la Somalie et le Somaliland.
"Le fait qu'ils arrivent dans un état tellement désespéré, et qu'avec une attention médicale immédiate, urgente, ils succombent tout de même montre à quel point la situation est épouvantable", commente-t-il.
Selon le HCR, le nombre de réfugiés qui affluent tous les jours est en baisse comparé à la semaine dernière. Jusqu'à 2.700 personnes étaient alors enregistrés par jour.
Mais les trois camps de la région sont pleins, un centre de transit abrite 10.000 personnes en attente d'une place plus stable et la semaine prochaine, un nouveau camp devrait ouvrir. Quelque 2.000 personnes devraient pouvoir y être envoyés tous les jours, indique Jo Hegenauer.
Quant au camp de Kobe, il fonctionnait déjà à pleine capacité trois jours après son ouverture, fin juin. Mais les réfugiés continuent tout de même de le rejoindre.
Raho Jimale, mère de trois enfants, est arrivée lundi épuisée de Somalie, après une semaine de marche.
"Nous n'avions rien à manger, nous avions besoin de manger quelque chose", dit-elle.
Sa famille avait perdu sa récolte, son troupeau de chèvres avait été décimé. Son mari était parti trois mois plus tôt pour chercher de l'eau, mais n'est jamais revenu. Elle-même n'a pas eu d'autre choix que de prendre la route avec ses enfants.
"C'était une décision difficile", admet-elle, s'agrippant à une ration de biscuits à forte valeur nutritive.
A Kobe, beaucoup de réfugiés construisent eux-mêmes des abris de fortune en arrivant. Des chiffons étendus sur des branches. Certains doivent aussi se démener pour obtenir les médicaments et l'aide dont leur famille a besoin.
santé:Sida: le dépistage au bout du doigt
Selon les résultats d'une étude rendue publique ce lundi, le traitement antirétroviral réduirait de 96% le risque d'infection au sein d'un couple dont un des membres est séropositif.
De nouveaux espoirs pour les séropositifs. L'utilisation du traitement antirétroviral contre la transmission de l'infection au VIH est encore plus efficace qu'annoncé, d'après les derniers résultats d'une étude rendue publique ce lundi à Rome lors de conférence Sida organisée par l'OMS.
Cette étude HPTN 052, conduite dans neuf pays, avait été rendue publique en mai. Elle portait sur 1763 couples sérodifférents (une personne infectée, l'autre pas) et faisait apparaître que si on traitait plus tôt la personne infectée il y avait une réduction du risque d'infection chez l'autre de 96% (28 personnes infectées, dont 27 chez les personnes traitées plus tardivement).
Par ailleurs, faire entrer plus tôt les personnes infectées dans un traitement leur procure un bénéfice individuel, puisque les taux de CD4, les cellules qui mesurent l'immunité, ont toujours été plus élevés chez elles que chez les personnes traitées plus tard. Ainsi, les résultats font état d'une baisse de 41% des infections opportunistes reliées à l'infection au VIH (telles que la tuberculose) et d'une baisse des décès.
Le virus du sida n'est plus détecté chez un Américain ayant reçu il y a trois ans une greffe de moelle osseuse pour traiter sa leucémie. Mais d'après les chercheurs, il est prématuré de crier victoire pour l'instant
.
C'est une avancée majeure dans le domaine de la santé: trois ans après avoir reçu une greffe de cellules-souches, un patient américain a guéri du sida, une première, ont révélé des scientifiques allemands dont les recherches ont été publiées mercredi dans la revue professionnelle Blood.
Les chercheurs de l'université de médecine de Berlin ont cependant immédiatement prévenu que ces résultats ne pouvaient pour autant pas être généralisés à la totalité des quelque 33 millions de personnes infectées par le virus du sida dans le monde.
Le patient, âgé d'une quarantaine d'années et porteur du virus depuis dix ans, a en effet été traité en 2007 pour une leucémie grâce à une greffe de cellules-souches prélevées dans la moelle épinière d'un donneur aux caractéristiques génétiques rares l'empêchant de contracter le sida.
Ce type de caractéristiques génétiques ne se rencontrent que chez 1% de la population blanche et avant de trouver le bon, son médecin allemand Gero Hutter, a rejeté des dizaines de potentiels donneurs. "Les résultats montrent que ce traitement du sida a fonctionné sur ce patient", assure la Société américaine d'hématologie qui publie Blood.
De nouveaux espoirs scientifiques sont permis
Dès la fin 2008, une première étude avait montré que le sida n'était pas réapparu chez ce patient, malgré l'arrêt de son traitement par anti-rétro viraux. Trois ans plus tard, les médecins n'ont pas retrouvé trace du virus dans son corps.
Mais, dans la mesure où 30% des patients en moyenne ne survivent à une greffe de la moelle épinière, les spécialistes du sida se montrent néanmoins circonspects.